Il était une fois, il y a longtemps
Il était une fois, il y a longtemps
Il y a quelques décennies, les touristes étaient les bienvenus à Ayent.
Les communautés étaient heureux que les « Üsserschwyzer » ont acheté ou construit des appartements et des chalets (résidences secondaires) ou de construire des chalets à Ayent.
Ils ne payaient qu’une taxe forfaitaire par ans de Fr. 10.00.
Les communautés étaient heureuses que le commerce local puisse générer des revenus. Parmi les profiteurs se trouvaient : Les propriétaires du terrain, les notaires, les architectes, les agences, les entreprises de construction, les artisans, la gastronomie et, enfin, les municipalités. Aujourd’hui, les impôts sur le revenu, les taxes foncières, les redevances pour l’élimination des déchets, l’eau/les eaux usées, etc. ne suffisent plus. Non, aujourd’hui les propriétaires de résidences secondaires sont également appelés à payer massivement via la taxe de séjour. Avec la taxe de séjour, les mauvaises décisions du passé sont financées/amorties. Des projets utopiques sont réalisés, qui ne pourraient pas être financés par les revenus des municipalités. Les zones municipales qui ne sont pas réservées par les touristes sont incluses dans la région imposable. Les propriétaires de résidences secondaires subventionnent la masse importante de touristes d’un jour par le biais de la taxe de séjour. Le principe du „pollueur-payeur“ ne fonctionne pas du tout. En hiver, les touristes d’un jour paient le même montant pour l’utilisation de l’infrastructure que les propriétaires de résidences secondaires. Les PRS ne bénéficient d’aucune concession pour les chemins de fer de montagne, les piscines couvertes, etc. par rapport aux locaux. Le PRS n’a pas son mot à dire dans la fixation des taxes de nuit ou des nouveaux investissements pour le „tourisme“.
Une carte d’invité (Anzère libertèe) est imposée au PRS, qui n’est pas d’une grande utilité. Un avantage supposé/imaginaire est toutefois facturé via la taxe de séjour. Dans le cas d’Anzère, un skieur belge (M. Marchand) est sponsorisé, ce qui ne devrait pas être financé par les taxes de séjour. Cependant, Ayent ne rend pas transparente l’utilisation du revenu de l’impôt des visiteurs. Cela signifie pour le PRS : payez et taisez-vous !.
Depuis l’adoption de la Lex Weber, il semble que les PRS doivent payer pour le référendum à ce moment-là.
Dans notre cas, la municipalité d’Ayent a évalué un petit chalet avec un lit double comme une propriété avec 4 lits. Ceci sans inspection officielle, sans évaluation correcte, bien que nous l’ayons demandé à plusieurs reprises.
Est-ce que cela est possible, les représentants du peuple et les fonctionnaires, avec une conscience claire ?
Devons-nous, en tant que PRS, tolérer l’injustice ou vendre notre rêve d’antan ?
Les propriétaires de résidences secondaires etaient les plus fidèles ambassadeurs des stations touristiques, mais ils sont traités pire que du bétail. De nos jours, beaucoup d’argent est dépensé en marketing et pour attirer de nouveaux clients. Grâce à l’PRS, les destinations touristiques peuvent se permettre ces campagnes de marketing.
Devise d’Ayent/Anzère : ce n’est pas notre porte-monnaie qui est touché, mais celui des propriétaires de résidences secondaires.
Il serait bon que les plus fidèles ambassadeurs d’Anzère, les propriétaires de résidences secondaires, soient également traités de manière objective et équitable par Ayent.
Es war einmal vor langer Zeit
Es gab eine Zeit, da waren Investoren in den Tourismusgebieten sehr willkommen.
Es wurde eine Kopfsteuer von Fr. 10.00 erhoben. Die Gemeinden waren glücklich, dass das einheimische Gewerbe Einnahmen generieren konnte. Zu den Profiteuren zählten: Grundstückbesitzer, Notare, Architekten, Agenturen, Baufirmen, Gewerbler, Gastronomie und nicht zuletzt die Gemeinden. Heutzutage genügen die Einkommenssteuern, Vermögenssteuern, Gebühren für Kehrrichtentsorgung, Wasser-/Abwasser etc. nicht mehr. Nein, heute werden die Zweitwohnungsbesitzer zusätzlich über die Kurtaxen massiv und ungerecht zur Kasse gebeten. Mit den Kurtaxen werden Fehlentscheide von früher finanziert/amortisiert. Utopische Projekte realisiert, welche über die Einnahmen der Gemeinden nicht finanzierbar wären. In die taxpflichtige Region wurden Gemeindegebiete einbezogen, welche von Touristen nicht gebucht werden. Zweitwohnungsbesitzer subventionieren über die Kurtaxen die grosse Masse an Tagestouristen. Da funktioniert das Verursacherprinzip nicht im geringsten.Tagestouristen bezahlen im Winter, gleich viel für die Benutzung der Infrastruktur, wie die Zweitwohnungsbesitzer. Die ZWB erhalten, gegenüber den Einheimischen, keine Vergünstigungen für die Bergbahnen, Hallenbäder etc. Die ZWB haben kein Mitspracherecht bei der Festlegung von Übernachtungstaxen oder neuen Investitionen für den «Tourismus».
Den ZWB wird eine Gästekarte aufgezwungen, welche von geringem Nutzen ist. Ein angeblicher/imaginärer Nutzen aber wird über die Kurtaxen in Rechnung gestellt. Im Falle von Anzère wird ein belgischer Skifahrer (Hr. Marchand) gesponsort, was nicht über Kurtaxen finanziert werden dürfte. Ayent macht aber die Verwendung der Einnahmen von Kurtaxen nicht transparent. Das heisst für die ZWB: zahlen und Maul halten.
Seit der Annahme der Lex Weber, so scheint es, müssen die ZWB für den damaligen Volksentscheid büssen.
Die Gemeinde Ayent schätzte in unserem Fall, ein kleines Chalet mit einem Doppelbett, zu einer Immobilie mit 4 Betten ein. Dies ohne offizielle Besichtigung, ohne korrekte Einschätzung, obwohl dies mehrmals von uns gefordert wurde.
Können dies, die Volksvertreter und Beamte, mit gutem Gewissen mittragen?
Müssen wir, als ZWB, das Unrecht dulden oder unseren Traum aus früheren Zeiten verkaufen?
Zweitwohnungsbesitzer sind die treuesten Botschafter der Touristenorte, werden aber schlimmer behandelt als Nutzvieh. Heutzutage wird viel Geld ausgegeben für Marketing resp. Neukundengewinnung. Dank der ZWB können sich die Tourismusdestinationen diese Marketingaktionen leisten.
Motto von Ayent/Anzère: es betrifft nicht unser Portemonnaie, sondern das der Zweitwohnungsbesitzer.